MAGNITUDES
Exposition du 05 au 27 novembre 2011
Oeuvres dessinées de Mélanie BERGER et Julien BRUNEAU (en collaboration avec M. Dalinsky, N. Gambier, A. Llaurens,
L. Myers, J. Peeters, S. Si Ahmed)
vernissage le 04 novembre de 18h30 à 21h00
photographies du vernissage...
Photographies des oeuvres
Exposition du 05 au 27 novembre 2011
Oeuvres dessinées de Mélanie BERGER et Julien BRUNEAU (en collaboration avec M. Dalinsky, N. Gambier, A. Llaurens,
L. Myers, J. Peeters, S. Si Ahmed)
vernissage le 04 novembre de 18h30 à 21h00
photographies du vernissage...
Photographies des oeuvres
Dans le cadre de cette exposition, la galerie Twilight zone se propose d’associer une artiste française et un artiste belge qui, au travers du dessin, questionnent chacun à leur façon le corps comme lieu de perception et de résonance sensible. Les tracés s’inscrivant sur le papier se veulent avant tout ici la traduction d’une expérience éprouvée et rendent compte, en quelque sorte, d’une « magnitude » des corps, de toute cette énergie contenue puis libérée lors du processus créatif.
Par son travail, Mélanie Berger nous donne à voir un conflit : d’un côté le geste vif, énergique, impulsif ; de l’autre, la volonté tenace de représenter, de faire sens. Un espace infime entre image mouvement et image construite où l’équilibre se cherche dans la tension de cet entre-deux insoluble.
Mélanie Berger est née en 1979 à Grenoble. Après ses études aux Arts Décoratifs (Paris) et à la Cooper Union (New York), elle entame un travail engagé de dessinatrice avec un rapport à l’édition (Odyssée(s) ; 2003, Médée, 2006) puis à l’animation (Hitsujigusa Nymphaea, 2006 ;...), mais aussi à son inscription dans un espace (Horizons, 2010 ; ...).
Les dessins proposés par Julien Bruneau, souvent produits à plusieurs (jusqu'à 5 personnes) et toujours selon un dispositif de contraintes, relèvent pour leur part de la trace. Ils tiennent de la sténographie - parce qu'ils sont faits de gestes documentant dans l'instantané une certaine expérience éprouvée ; et ils tiennent de la cartographie - parce qu'ils se présentent comme des paysages où coexistent des éléments hétérogènes à travers lesquels le regard compose ses parcours.
Ces dessins sont réalisés dans le cadre du projet de recherche « Phréatiques » qui articule danse, dessin et pensée verbale à travers une approche collective.
Ce projet génère donc des performances, des dessins, du texte (écrit et oral). A travers toutes ses occurrences, il s'intéresse à la relation entre intériorité et collectivité, en proposant l'hypothèse d'un échange continu et réciproque entre ces deux pôles.
Julien Bruneau vit à Bruxelles, où il a étudié les arts plastiques à La Cambre. Sa recherche artistique l’a mené à la danse. Depuis plusieurs années, il développe son propre travail chorégraphique en collaborant avec des personnes impliquées dans différents domaines - danse, musique, arts plastiques, photographie, poésie ou encore philosophie - dans le cadre de spectacles, d’improvisations et de recherches (dont Maurizio Saiu, Hugues Warin, le collectif Idioms Film, Antoine Boute, Alix de Morant, Jonathan Philippe …)
Par son travail, Mélanie Berger nous donne à voir un conflit : d’un côté le geste vif, énergique, impulsif ; de l’autre, la volonté tenace de représenter, de faire sens. Un espace infime entre image mouvement et image construite où l’équilibre se cherche dans la tension de cet entre-deux insoluble.
Mélanie Berger est née en 1979 à Grenoble. Après ses études aux Arts Décoratifs (Paris) et à la Cooper Union (New York), elle entame un travail engagé de dessinatrice avec un rapport à l’édition (Odyssée(s) ; 2003, Médée, 2006) puis à l’animation (Hitsujigusa Nymphaea, 2006 ;...), mais aussi à son inscription dans un espace (Horizons, 2010 ; ...).
Les dessins proposés par Julien Bruneau, souvent produits à plusieurs (jusqu'à 5 personnes) et toujours selon un dispositif de contraintes, relèvent pour leur part de la trace. Ils tiennent de la sténographie - parce qu'ils sont faits de gestes documentant dans l'instantané une certaine expérience éprouvée ; et ils tiennent de la cartographie - parce qu'ils se présentent comme des paysages où coexistent des éléments hétérogènes à travers lesquels le regard compose ses parcours.
Ces dessins sont réalisés dans le cadre du projet de recherche « Phréatiques » qui articule danse, dessin et pensée verbale à travers une approche collective.
Ce projet génère donc des performances, des dessins, du texte (écrit et oral). A travers toutes ses occurrences, il s'intéresse à la relation entre intériorité et collectivité, en proposant l'hypothèse d'un échange continu et réciproque entre ces deux pôles.
Julien Bruneau vit à Bruxelles, où il a étudié les arts plastiques à La Cambre. Sa recherche artistique l’a mené à la danse. Depuis plusieurs années, il développe son propre travail chorégraphique en collaborant avec des personnes impliquées dans différents domaines - danse, musique, arts plastiques, photographie, poésie ou encore philosophie - dans le cadre de spectacles, d’improvisations et de recherches (dont Maurizio Saiu, Hugues Warin, le collectif Idioms Film, Antoine Boute, Alix de Morant, Jonathan Philippe …)